Timor Mortis

La plénitude polyphonique de la Renaissance. Missa pro defunctis de Charles d’Argentil, motets de Jehan Barra, Lamentations de Claudin de Sermisy.
Sans renoncer à l’excellence et à la maîtrise du contrepoint de leurs prédécesseurs de l’Ecole flanco-flamande, ces trois compositeurs ont en commun une écriture plus homophonique, privilégiant la qualité de la prosodie. Ce choix esthétique confère à leurs œuvres une sonorité épanouie, qui restera l’idéal des musiciens de la Renaissance.